Les maladies cardiovasculaires (MCV) regroupent un certain nombre de troubles affectant le cœur et les vaisseaux sanguins comme:
Les infarctus et les accidents vasculaires cérébraux sont généralement des événements aigus et sont principalement dus au blocage d’une artère empêchant le sang de parvenir au cœur ou au cerveau. Leur cause la plus courante est la constitution d’un dépôt gras sur les parois internes des vaisseaux sanguins alimentant ces organes. Les accidents vasculaires cérébraux peuvent aussi résulter du saignement d’un vaisseau sanguin cérébral ou de caillots.
Les infarctus et les AVC sont généralement dus à la présence de plusieurs facteurs de risque associés comme le tabagisme, une mauvaise alimentation et l’obésité, la sédentarité et l’utilisation nocive de l’alcool, l’hypertension, le diabète et l’hyperlipidémie.
C’est dans le domaine des maladies cardiovasculaires que les preuves de l’intérêt de l’activité physique sont les plus importantes. Il s’agit d’effets variés à la fois sur les capacités physiques, la dimension psychologique, l’environnement physiopathologique (ce qui peut modifier le comportement de l'organisme), et les facteurs de risque.
L’activité physique est efficace en prévention primaire (pour éviter la maladie) comme en prévention secondaire (pendant la maladie), mais également en prévention tertiaire (après la maladie, pour éviter une rechute).
Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde, avec une majoration dans les pays développés.
On déplore chaque année dans notre pays 150.000 décès d'origine cardiovasculaire.
Les principales pathologies à l’origine de ces décès sont les suivantes :
L’activité physique réduit l’incidence d’accident vasculaire cérébral de 25 %
L’activité physique amé- liore la vasodilatation
Il existe une relation linéaire entre le niveau d’activité physique et l’augmentation de l’activateur du plasminogène tissulaire qui, produit par la cellule endothé- liale, se lie à la fibrine pour transformer le plasminogène en plasmine qui va
352 lyser un thrombus en formation
L'activité physique doit être une partie intégrante dans la prise en charge de la lombalgie pour plusieurs raisons.
Risque de rechute :
L'activité physique pratiquée de manière préventive, avec des exercices adaptés aux lombalgies, permettra de diminuer les risques de rechute.
Spirale du déconditionnement :
Lors de douleurs aux dos, nous avons tendance à vouloir stopper toute activité par peur d'accentuer la douleur. Toutefois, la
plupart du temps, le fait d'être inactif va amener ce qu'on appelle la spirale du déconditionnement. Un cercle vicieux qui du fait de l'inactivité entraîne une fonte
musculaire mais aussi une perte de l'endurance cardio-respiratoire. Cela va accentuer davantage les difficultés à reprendre une activité et cela perpétue le cercle vicieux
de la lombalgie chronique. Donc poursuivre une activité pendant la lombalgie permet de prévenir les réactions en cascades liées à l'inactivité.
Qualité de vie :
L’activité diminue l’incapacité et la douleur et améliore la condition physique et le statut professionnel des patients lombalgiques subaigus, récurrents ou chroniques.
Dans tous les cas, il faut insister sur l’importance de maintenir un quotidien aussi actif que possible. L'activité physique permettant ainsi d'avoir une meilleure qualité de vie.
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